mercredi 23 juillet 2014

SUPPRESSI​ON ELECTION PRUD'HOMAL​E

SUPPRESSI​ON ELECTION PRUD'HOMAL​E



Communiqué de presse
 
 
 
UNION DEPARTEMENTALE
CGT PARIS
85 rue Charlot 75003 Paris
01 44 78 53 31


Les mauvais coups de l’été !

Alors que nous pensions le projet de loi sur la fin de l’élection prud’homale renvoyé aux calandres grecques, le gouvernement vient de déposer, en catimini, un projet de loi au Sénat devant la Commission Sociale à la veille de la fin de la session parlementaire pour supprimer l’élection prud’homale au suffrage universel.
 
Profitant des événements internationaux actuels pour attaquer durement le salariat, le MEDEF s’est agité il y a huit jours pour nous indiquer que les sanctions aux prud’hommes sont un obstacle au développement économique des entreprises, donc à l’emploi.
 
Aussitôt dit, aussitôt fait, les « serviteurs dévoués du grand capital » nous « pondent » une loi pour diminuer l’audience de la CGT. Cette attaque s’ajoute aux déclarations sur le relevage des seuils de déclenchement des élections dans les entreprises.
 
Or, c’est un véritable déni de démocratie, le gouvernement actuel, dans la droite ligne de mire du précédent, supprime une à une les expressions démocratiques par les urnes.
 
La CGT va mettre tout en œuvre pour s’opposer à la privation des droits des salariés.
 
 
Fait à Paris, le lundi 21 juillet 2014
 
 
Contact Union Départementale CGT de Paris
Fred PARE
01 44 84 52 93
 
 
 
"Une force à vos côtés"

 

lundi 21 juillet 2014

5000 ème visiteur sur notre Blog

5.000 ème VISITEUR...
 
 

5000 ème visiteur sur notre Blog
 
 
 
 
 
C'est un véritable succès
TOUJOURS croissant.
 
 
 
Résumé en bref
 
Création du BLOGSPOT le 15 décembre 2013,
quelques essais techniques...
puis mise en ligne en début d'année 2014.
 
 
 
POURQUOI sur internet ?
 
Lors de mon élection au bureau (décembre 2013), il était évident que les tracts et documents sur les sites, dans les PC et aux affichages (quand il y en a !!! ) disparaissaient très rapidement...BIEN TROP RAPIDEMENT...
La solution était donc de créer un espace informatique sur le WEB... Le BLOG a été alors une solution évidente et retenue.
Sur notre BLOG (OUVERT A TOUS) il est maintenant possible de consulter les articles publiés (même anciens, antériorité jusqu'à début 2014).
 
Il m'était également demandé de mieux faire connaître NOTRE syndicat .(en local, en régional et en national.. MISSION ACCOMPLIE, et à poursuivre...
(pour info, nous sommes même lus à l'International).
De plus, chose importante, nous sommes maintenant référencés sur la toile dans les moteurs de recherche... Nous sommes donc faciles à trouver par mots clefs simples...
 
Mais il est également OUVERT A TOUS pour les publications...comme le précisait judicieusement Stéphane : POUR VOS RUBRIQUES (les problèmes que vous rencontrez sur vos secteurs géographique, et dans vos spécificités de la sécurité, de la prévention, et de la sûreté...).
Documents à envoyer sous fichiers WORD ou images de préférence en JPEG.
 
 
 
 
 ATTENTION
Nous nous interdisons de mettre des noms pour ne pas être diffamatoire.
 
 
 
HIER, le 12 février dernier nous vous annoncions le 1000ème lecteur...

AUJOURD'HUI, le 21 juillet nous sommes lus par le 5000ème lecteur...
 
 
 
Nous ne cesserons de féliciter et remercier nos lecteurs :
- nos camarades CGT du Grand-Ouest et de la CGT FPS.
- les salariés FPS de la FRANCE entière par leurs retours nous encourageant
 à continuer, se reconnaissant de difficultés professionnelles communes et précises.
- nos sympathisants CGT.

- et TOUS nos autres lecteurs (ils se reconnaîtront)...
 
 
 
Aujourd'hui nous tenons,
une nouvelle fois,
à vous dire
A TOUS "UN GRAND MERCI"
de vos visites,
de votre intérêt,

de vos mails d'encouragements,
à nous témoigner votre confiance,
et VOTRE FIDÉLITÉ.
 
 
 
Le bureau du Syndicat SÉCURITÉ
"BRETAGNE - PAYS de la LOIRE"
 
Siège : 82 bld COSMAO DUMANOIR  56100 LORIENT

 

 - Secrétaire général

    M. Philippe PÉRON (AE site DCNS Lorient)    Tél : 06 14 97 28 22

Mail : philippe.peron56@gmail.com
 

 - Secrétaire adjoint   

    M. Stéphane POULIQUEN (AE site DCNS Lorient)    Tél : 06 85 69 23 96

 
 
 - Trésorière
   Mme Nadine KERLEAU (AE site DCNS Lorient)    tél : 06 78 56 13 66
 

 

 
"Une force à vos côtés"
 

vendredi 11 juillet 2014

RETARDS : ACOMPTES HIER...AUJOURD'HUI SALAIRES


RETARDS : ACOMPTES HIER...AUJOURD'HUI SALAIRES...
 
Bug informatique ?
ou manque de trésorerie ???
 
La direction des Ressources Humaines a contacté et prévenu les responsables d'agence en France dans un courriel du 07 juillet 2014 :

TEXTE :
"Suite à un problème dans la génération de la date de valeur, les payes auront un retard : entre demain (mardi 8 juillet 2014) et après-demain (mercredi 9 juillet 2014) sur les comptes, et ce malgré la transmission des bandes de virement jeudi soir.
Merci de communiquer auprès de vos équipes.
Nous nous excusons pour le désagrément".
 
Fin du TEXTE.


 
Ce qu'il faut savoir :

Le mois dernier "problème retard sur les acomptes" et ce mois-ci (pour le salaire de juin 2014) FPS a un problème sur les virements des salaires.
Devons-nous comprendre que la société FIDUCIAL PRIVATE SECURITY a des difficultés ? Les salariés ex-NEO doivent se souvenir de ce genre de problèmes à ce sujet.
Que la société met un retard volontaire pour voir combien de salariés vont se retourner vers leurs responsables d'agence pour être réactifs ?
Devons-nous croire que la société met un allongement volontaire du délai pour son propre gain si les salariés ne réclament rien ou ne montrent pas leur mécontentement ?
 
Qu'en est-il pour les salariés et Comment réagir ?
La société doit prendre en compte les agios des salariés.
Le salarié doit demander réclamation individuellement mais, pour demander réparation, il faut savoir que le point de départ du calcul du préjudice est le moment où l'on réclame. Donc cela est aussi important pour les agios.
 
Alors que dit la législation à ce sujet :

Date
La loi ne prévoit pas de date précise pour le paiement du salaire. Mais le Code du travail prévoit toutefois certaines règles. Ainsi, pour les salariés mensualisés, l'article L. 3242 du Code du travail prévoit que la rémunération du salarié doit être payée au moins une fois par mois au salarié.
 
Conséquence : Le délai entre deux paies ne peut pas dépasser un mois.
Pour les salariés qui ne sont pas mensualisés, le paiement doit intervenir au minimum deux fois par mois, avec un intervalle maximum de 16 jours.
Le contrat de travail ne peut pas prévoir de règles contraires (paiement différé...) à celles énoncées ci-dessus. Si tel est le cas, ces clauses doivent être considérées comme nulles.

 
Retard
Si l'employeur ne respecte pas ces délais de paiement du salaire, il s'expose à l'amende prévue pour les contraventions de 3e classe (sanction prévue à l'article R. 3246-1 du Code du travail).

L'employeur peut également être condamné à verser des sommes supplémentaires au salarié en réparation de son préjudice. Ces sommes prennent la forme d'intérêts moratoires et, le cas échéant, de dommages et intérêts.
 
 
 
 
 
 
"Une force à vos côtés"
 

mardi 8 juillet 2014

Où est le dialogue social ???

Où est le dialogue social ???

DIALOGUE SOCIAL ?

Voici la copie du courrier adressé par notre Secrétaire Général de la CGT, à monsieur François Hollande.

 
 
Le Président souhaite-t-il un véritable dialogue ?
 
Ou est-ce encore une fois de plus,
un simple effet d'annonce ?
 
 
"Une force à vos côtés"
 


jeudi 3 juillet 2014

Rupture de la période d’essai : les droits du salarié précisés

Droit du travail
 
 

Rupture de la période d’essai : les droits du salarié précisés

Publié le 02.07.2014 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
 
En cas de rupture de la période d’essai à l’initiative de l’employeur, le salarié dont le contrat stipule une période d’essai d’au moins 1 semaine doit être prévenu par l’employeur à l’avance (on parle de « délai de prévenance »).
Si ce délai n’est pas respecté, le salarié a droit à une indemnité compensatrice (sauf s’il a commis une faute grave). Son montant correspond aux salaires et aux avantages que le salarié aurait perçus s’il avait accompli son travail jusqu’à l’expiration de ce délai. C’est ce qu’indique l’article 19 d’une ordonnance publiée au Journal officiel du vendredi 27 juin 2014.
En cas de rupture de la période d’essai à l’initiative de l’employeur, le salarié doit être prévenu au moins :
  • 24 heures à l’avance en dessous de 8 jours de présence dans l’entreprise,
  • 48 heures à l’avance entre 8 jours et 1 mois de présence,
  • 2 semaines à l’avance entre plus d’1 mois et 3 mois de présence,
  • 1 mois à l’avance après 3 mois de présence.


"Une force à vos côtés"