vendredi 3 octobre 2014

ÎLE LONGUE - Travail à hauts risques

ÎLE LONGUE - Travail à hauts risques


Après une 3ème réunion de négociations
(peu fructueuse sur de nombreux points),
notre syndicat CGT SECURITE "Bretagne - Pays de la Loire"
vient d'adresser un courriel à la direction,
afin qu'elle réévalue les facteurs de risques inhérents aux fonctions et travail de nos collègues de l'ÎLE LONGUE.

 



En effet, un article de FRANCE 3 Bretagne sur le NUCLEAIRE a retenu toute notre attention sur ce sujet...


Nous espérons que la direction en prendra maintenant conscience...(il serait temps)...

 

 
 
  • Par Thierry Peigné
  • Publié le 01/10/2014 | 16:10, mis à jour le 01/10/2014 | 18:38 

  • Brest : deux jours d'exercice de sécurité nucléaire

    FRANCE 3 BRETAGNE Ce mercredi et jeudi, un exercice national de sécurité nucléaire se déroule sur la base navale de Brest et les quartiers environnants. Un accident sur un sous-marin nucléaire est simulé. De nombreux services de secours, de surveillance radiologique et de décontamination sont engagés.
    Cet exercice simule un accident affectant la chaufferie nucléaire d’un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA). C'est un scénario de cinétique lente, ce qui signifie que les rejets radioactifs se produisent plusieurs heures après l'incident. Un certain nombre de dispositions sont mises en oeuvre dont le déclenchement du plan d’urgence interne (PUI) de la base navale dès ce mercredi et le déclenchement jeudi par le préfet du plan particulier d’intervention (PPI). Le périmètre de danger considéré pour cet exercice s'étend sur 2000m de rayon autour de la base navale.

    Les marins-pompiers à l'oeuvre sur le sous-marin

    Dans le cadre d'un tel incident, plusieurs dispositifs de secours sont mis en oeuvre de manière coordonnée avec comme objectif principal de confiner la fuite radioactive (fictive) au sous-marin :
    - Le poste de contrôle avancé, placé au plus près du site de l’accident, d’où sont conduites les opérations de secours.
    - L’action des marins-pompiers, des équipes médicales et du personnel du service de surveillance radiologique intervenant à proximité du sous-marin nucléaire.
    - L’action du centre de tri et de décontamination sommaire, où seront dirigées les personnes non blessées.
    - L’action du poste avancé des blessés radio contaminés, où seront prises en charge les victimes ne présentant pas une urgence médicale absolue
     

    Une école évacuée 

    Dans le cadre du plan particulier d’intervention (PPI) déclenché par le préfet, l'évacuation de l'école de la Pointe à Brest-Recouvrance va être testée en temps réel. Elle se déroulera à partir de 9 h jeudi. Les enfants regagneront leur école avant midi. Les écoles Javouhey et Saint-Paul Roux participeront également à l'exercice.

    Des sirènes jeudi

    Ce jeudi, dans le cadre de l’exercice toujours, les sirènes de la Marine seront déclenchées en matinée pour simuler l’appel à la population de se confiner (à l’intérieur d’un bâtiment, fenêtres et portes fermées, ventilation coupée), mesure réflexe qui serait à appliquer en cas d’accident réel.
    La préfecture rappelle que le signal d’alerte commun à toute risque majeur (nucléaire, SEVESO, naturel) dure près de 5 minutes et se compose de trois séquences sonores en son modulé d’une 1 min 41 sec chacun, séparées d’un intervalle de 5 secondes. Ce signal est donc trois fois plus long que celui de chaque premier mercredi du mois à midi.

    La police mettra en oeuvre un plan de bouclage d'un périmètre de sécurité de 500m autour de la zone de l'accident, matérialisé par des panneaux posés sur les trottoirs des rues concernées. Pour autant, aucune rue ne sera fermée à la circulation.
     
    source :
    





    Bien entendu, TOUS les autres points de négociations actuellement en cours sont EGALEMENT à revoir à la hausse...







    "Une force à vos côtés"

     

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